jeudi 3 août 2017

Laïcitophobie, une maladie purement islamique Par Amin Zaoui


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Laïcitophobie, une maladie purement islamique
Par : Amin ZAOUI (ma chronique hebdomadaire SOUFFLES in le quotidien LIBERTE, du jeudi 03 Aout 2017, le lien : http://www.liberte-algerie.com/culture/laicitophobie-une-maladie-purement-islamique-274750)
Le musulman, tout musulman à travers le monde, est allergique au concept de “laïcité”. Ce mot “laïcité” lui fait peur ! Le rend malade. L’angoisse. À ses yeux, “laïc” est équivalent à communiste. Similaire au “athée”. Égal au “irreligieux”. Synonyme d’immoral. Ou encore un laïc est un juif. Un juif est un laïc. Un laïc est un chrétien. Un chrétien est un laïc. Tout laïc est un non-musulman. Et tout musulman est un non-laïc, un laïcitophobe. Un musulman ne peut pas imaginer un autre musulman laïc.
En l’absence de laïcité comme mode de vie social, comme moyen de penser, comme culture politique, le monde musulman est devenu un monde islamiste. Rongé par l’intégrisme. Même la laïcité en Turquie est menacée par l’islamisme fanatique porté par le projet politique des Frères musulmans.
La “laïcité” fait peur aux musulmans, de La Mecque jusqu’à Nouakchott. elle fait peur au politique musulman de droite comme de gauche, elle fait peur aux “doctours” des universités, elle fait peur au citoyen normal. La laïcité est un monstre ! Mais pourquoi cette “laïcitophobie” chez le musulman ?

L’école est la source fondamentale de cette maladie appelée laïcitophobie. L’école, toute école dans le Maghreb et dans le monde arabo-musulman, depuis la maternelle jusqu’à l’université, apprend à ses élèves que la laïcité est un danger qui menace la religion islamique. Que “la laïcité” est l’ennemi numéro un de l’islam. Elle est le piège juif tendu aux musulmans ! Elle est l’appât à l’hameçon colonial.
Puis, parce que le citoyen se noie dans un grand vide intellectuel dont l’histoire des idées philosophiques universelles est bannie. Les musulmans vivent hors sans Histoire et hors l’Histoire. Ou ils font l’Histoire à leur guise vantardise ! Parce qu’il n’y a pas de pensée critique. Parce que le fanatisme prend le dessus dans les écoles et les universités, le musulman est attrapé par la laïcitophobie. Parce que le religieux est un destin communautaire imposé. Parce qu’il n’y a pas de débats intellectuels libres et rationnels, le musulman a peur de la laïcité. Parce qu’il n’y a pas de vrais partis politiques avec des programmes de société, ils sont tous élevés ou engendrés par les courants nationalistes aux épices islamiques ou par les idées des Frères musulmans.
La phobie islamique envers la laïcité a engendré une culture de la haine dans toute société musulmane. Cette phobie islamique généralisée envers la laïcité a renforcé la mentalité du troupeau, a vidé le musulman de pouvoir cultiver une liberté individuelle. Cette laïcitophobie a créé le sentiment de la peur de l’autre, le refus de vivre avec autrui. Cette laïcitophobie a élevé des barrières devant celui qui n’est pas similaire, en religion ou en mode de penser.
Cette maladie qui est la laïcitophobie est la conséquence de tout ce que les peuples du Maghreb et du monde arabo-musulman ont vécu en déception politique, sociale et culturelle, cela dure depuis les indépendances nationales de ces pays. Si le musulman ne se libère pas de cette maladie psycho-intellectuelle qui est la laïcitophobie, il demeurera condamné à vivre dans la peur, la haine et la violence envers lui-même et envers l’autre.
On n’a jamais expliqué au simple croyant musulman, avec clarté et courage intellectuel et politique, la signification de la laïcité. On n’a jamais appris aux enfants des écoles musulmanes que la laïcité est le seul chemin qui garantit le respect des religions, toutes religions confondues. Que seule la laïcité assure le respect de l’être humain avec ses convictions religieuses, philosophiques et politiques. Que le chemin de la laïcité est le garant de la possibilité de vivre ensemble, entre le musulman et les autres gens appartenant à d’autres religions ou à d’autres non-religions. Que la laïcité permettra l’épanouissement en tout respect des différentes cultures et langues qui vivent au Maghreb ou dans ce monde arabo-musulman.
Toutes les guerres déclarées, dans l’espace musulman ou ailleurs, au nom de l’islam contre les autres religions, contre les autres cultures, contre les autres langues sont le résultat de cette laïcitophobie, cette maladie qui ronge le musulman là où il se trouve.
Sans le respect de la laïcité comme culture, pensée et comme mode de vie sociale et politique, l’existence même de l’islam restera menacée dans le monde.
Et la Laïcitophobie engendre l’islamophobie.

mardi 1 août 2017

Diplomatie / Exclusif – Entretien avec le nouvel ambassadeur de France en Algérie, M. Xavier Driencourt

Son Excellence Xavier Driencourt, Ambassadeur de France en Algérie
Xavier Driencourt fait son retour à la tête de la représentation diplomatique française à Alger. Le diplomate français est passé par le Quai d’Orsay, le ministère des Affaires étrangères français entre 2013 et 2017, avant une deuxième nomination à la tête de l’ambassade de France à Alger. De son propre aveu, c’est lui-même qui a demandé à revenir en Algérie. Pour lui, ce pays est un partenaire important. Il évoque ici les différents aspects des relations franco-algériennes et donne une lecture des défis auxquels la société algérienne devra faire face à l’avenir. Entretien.    
Algérie Focus : M. Driencourt, vous avez déjà été à la tête de l’ambassade de France en Algérie entre 2008 et 2012 où vous vous êtes distingué avec votre sens de l’échange apaisé. Aujourd’hui, c’est vous-même qui avait demandé à être réaffecté à Alger. Une requête accueillie favorablement par le Quai d’Orsay et Alger. Qu’est-ce qui vous a poussé à revenir à Alger alors que vous auriez pu demander à être affecté dans n’importe quelle grande capitale du monde?
 Xavier Driencourt : il y a plusieurs raisons qui ont motivé ce retour à la tête de notre représentation diplomatique à Alger. D’abord, je dirais que je porte une affection particulière à l’Algérie, ce qui est en soi, une condition essentielle pour être efficace dans son travail. Je n’ai aucune attache, familiale ou autre, avec ce pays, mais je l’aime parce que je crois tout simplement en son potentiel et à son importance. Et l’Algérie est un partenaire exceptionnel pour la France. Je pense aussi que l’installation de nouveaux gouvernements en Algérie et en France après l’élection d’Emmanuel Macron va faire entrer les relations bilatérales dans une nouvelle phase.

Vous insistez sur l’importance du partenariat entre l’Algérie et la France. Pourquoi revêt-il une telle importance ? Et surtout, quels sont ses principaux axes? 
L’Algérie est particulièrement importante pour la France car le partenariat franco-algérien couvre tous les domaines. En effet l’Algérie fait partie de ces rares pays avec lesquels la France entretient une relation exclusive qui ne se limite pas à un seul domaine. Les enjeux économiques, pétroliers et gaziers etc revêtent, bien évidemment, une grande importance, mais le plus important reste la dimension humaine. Cette dimension se manifeste notamment à travers les migrations entre les deux pays. La communauté algérienne, franco-algérienne ou française d’ascendance algérienne qui est présente en France, confère un aspect unique à ces relations. Il y a aussi la dimension éducative et culturelle, l’Algérie est un pays francophone et la langue française joue un rôle dans la formation. En plus des aspects économique et humain, la dimension sécuritaire s’est imposée plus récemment avec la question du Sahel. En fait, tous ces aspects soulignent la variété et la densité des relations entre les deux pays ; c’est un défi particulièrement intéressant pour un ambassadeur qui est amené à intervenir dans tous les domaines.

On vous prête la réputation d’être un très fin connaisseur de l’Algérie. Vous avez toujours entretenu de bons rapports avec les différents acteurs de la société algérienne que ce soit avec les responsables politiques, les opérateurs économiques ou la société civile. Quel regard portez-vous sur les enjeux à venir auxquels la société algérienne devra faire face à court et moyen terme ?
Je ne sais pas si je suis un fin connaisseur de l’Algérie, comme vous le dîtes, mais les quatre années que j’ai passé dans ce pays m’ont permis de tisser des liens avec des responsables politiques, des acteurs économiques et de la société dite civile.  J’ai beaucoup apprécié ces contacts, certains m’ont profondément marqué. J’ai dit à mes futurs collaborateurs qu’il faut amplifier ce travail de proximité, sortir de l’ambassade, aller à la rencontre du peuple algérien, l’inviter à venir nous rencontrer. Il faut sortir d’Alger et voyager aux quatre coins du pays pour prendre le vrai pouls de ce magnifique pays.
Pour répondre à votre question sur les enjeux auxquels la société algérienne devra faire face, je préfère plutôt parler de dimensions sur lesquelles il est urgent de travailler et pas d’enjeux. À mon sens, il y a trois dimensions. Encourager les Algériens à avoir confiance en eux-mêmes, car l’Algérie est un pays qui a un énorme potentiel. Tout en restant à la place qui est la nôtre, je crois que nous pouvons accompagner les Algériens et les encourager à développer ce potentiel. La deuxième dimension a trait à la transition économique du pays, car c’est l’intérêt de tous que l’Algérie surmonte les difficultés nées de la baisse du pétrole et réussisse cette transition économique. Il me semble que les entreprises françaises, mais aussi la communauté algérienne établie en France et les Franco-Algériens parce qu’ils représentent des acteurs importants, ont vocation à accompagner l’Algérie dans cette transformation. Nous avons été trop absents dans les années 90, nous devons donc être présents aujourd’hui. Le troisième aspect concerne quant à lui, les questions liées à la formation et à l’éducation qui sont prioritaires.  Beaucoup a été fait depuis 2012 dans ces trois secteurs, par mes prédécesseurs et je pense que nous pouvons amplifier ce mouvement. Je tiens à saluer le remarquable travail effectué par Jean-Louis Levet.

Vous avez parlé d’accompagnement de l’Algérie dans sa transition économique par des entreprises françaises. Pourtant, les Algériens ont toujours le sentiment que les accords signés avec le Maroc sont meilleurs que ceux signés avec l’Algérie, le cas de l’usine Renault est particulièrement révélateur de cet état d’esprit. Qu’en pensez-vous ?
 Il peut y avoir une part de vérité là-dedans, mais est-ce bien la réalité ? Vous évoquez le cas de l’usine Renault à Oran et celle de Tanger au Maroc en soulignant que celle d’Oran n’avait pas le même degré d’intégration et les mêmes possibilités d’exportation. Il m’a été donné de répondre à une question similaire lors de ma première conférence de presse en qualité d’ambassadeur de France en Algérie en 2008. Ce jour-là on m’avait demandé pourquoi Renault avait choisi de s’implanter au Maroc et non en Algérie. Cette situation s’expliquait à l’époque par la disponibilité d’un environnement favorable à l’investissement de Renault. N’oublions pas que les entreprises ne sont pas particulièrement altruistes, dans la mesure où ce sont d’abord leurs intérêts qui priment et que l’administration française n’a pas prise sur ces entreprises en ce sens qu’elle ne peut  les obliger à s’implanter dans tel ou tel pays. Elle peut, en revanche, les orienter, les accompagner, les conseiller et c’est cela le travail d’une ambassade. Il faut expliquer l’Algérie, son potentiel, ses avantages.

Vous avez énuméré les enjeux des relations entre les deux pays soulignant l’existence de liens étroits qu’il faudrait renforcer à l’avenir. Quelles sont vos priorités et les dossiers à traiter en urgence ?  
 Avant toute chose, il faut me faire une idée précise à mon arrivée à Alger pour fixer ces priorités car l’Algérie a changé en cinq ans. Cependant, je peux vous dire qu’en sus de ce qui a été dit tout à l’heure notamment en ce qui concerne la coopération économique et la coopération dans le domaine de la formation, je crois qu’il faut identifier, avec nos partenaires algériens, des projets concrets que nous pourrons mettre en œuvre ensemble. Le Président de la République, Emmanuel Macron avait évoqué lors de sa visite à Alger, la réflexion sur une chaîne de télévision Franco-algérienne sur le modèle d’ARTE ou encore la création d’un office Franco-algérien pour la jeunesse. Ce sont des pistes à explorer.
Je veux également souligner le fait que nos partenaires algériens ont une parfaite maîtrise de notre langue, ils sont souvent formés dans nos écoles, ces partenaires ont les mêmes « codes » que nous, ils ont également une parfaite connaissance de l’environnement politique et administratif français ; c’est pour cela qu’il faut faire comprendre aux chefs d’entreprises de Marseille, Toulouse  ou Montpellier  que leur « arrière-pays » économique, c’est l’Algérie, et que c’est là qu’il faut investir. Alger ou Oran ne sont pas plus éloignées de Marseille que ne le sont Lille ou Strasbourg. C’est pour cela qu’il faut les convaincre de regarder vers le Sud et pas seulement vers le Nord.
Laissez-moi en conclusion redire que c’est un immense honneur pour moi de servir à nouveau en Algérie : j’ai dit en quittant Alger en 2012 « qu’on ne sortait pas indemne de quatre années en Algérie » : revenir à Alger est la preuve de mon engagement, de ma détermination et de l’immense confiance que j’ai dans l’avenir et la force des relations algéro-françaises.
Par 
Massinissa Mansour

http://www.algerie-focus.com/2017/07/entretien-exclusif-xavier-driencourt-ambassadeur-france-en-algerie/

Le musulman est-il un citoyen raté ? UNE CHRONIQUE D'AMIN ZAOUI



Soumission ou citoyenneté ? Citoyen ou croyant ? Je médite sur ce monde musulman en pleine folie religieuse, et avec tristesse, colère et amertume, je me demande : le musulman est-il un citoyen raté ?

Là où la religion s’impose en mode de vie, là où la religion impose un modèle de vie, là où la religion pèse sur les libertés de penser, les libertés individuelles, la citoyenneté est bafouée. Et le citoyen n’a pas d’existence. Ainsi l’individu remplace le citoyen. Et le troupeau troque le groupe social. Le bercail prend la place de la cité.  
Et parce que dans les pays arabo-musulmans la religion islamique est impliquée dans les détails de la vie privée et collective, la société se trouve sous contrôle permanent de foi et harcèlement chaotique.
Parce que la religion musulmane prépare l’individu, depuis sa naissance, pour l’autre monde, pour un autre jour, le jour du jugement dernier, ce bas monde aux yeux du musulman n’est que transitoire et chimère. La cité des morts passe avant la cité des vivants.
Parce que l’individu musulman (pas le citoyen) a la tête noyée, depuis l’âge d’école coranique, dans des textes et des recommandations remontant au deuxième siècle de l’Hégire (huitième et neuvième siècles de notre ère), ce dernier se trouve décollé, aliéné, étranger à son temps historique. Ainsi il pense à la cité paradisiaque qu’à son quartier.
Et parce qu’il est collé à un autre temps, le musulman pense au paradis, avec ses ruisseaux débordant de vin, de miel et de lait, et oublie de descendre la poubelle à l’heure du passage des éboueurs. D’ailleurs, le bac de poubelle du quartier a été volé ! Un autre a été éventré !
Toutes les villes musulmanes, et j’en ai visitées plusieurs, de La Mecque à Nouakchott, passant par Oran, Tanger et le Caire, les plus symboliques, les plus importantes, sont sales.
Le musulman en focalisant sur la longueur de la jupe de la femme, oublie le code de la route. Et ce n’est pas important, le code de la route n’existe pas au paradis !  Et la mort est un mektoub ! Et le jour de la mort est écrit depuis la naissance ! 
Le musulman en pensant à cet étranger, autrui, celui qui ne lui ressemble pas, appartenant à une autre religion, juif ou chrétien ou irréligieux,  s’engouffre dans la haine et l’isolement. Celui qui ne lui ressemble pas doit être banni de son entourage par la guerre sainte, par la haine ou par la violence verbale. Et la cité perd sa diversité et sa créativité!
Allez-y voir nos plages, nos places publiques, nos marchés publics, nos transports publics, nos espaces verts publics, nos écoles publiques, nos trottoirs publics, nos parkings publics…. C’est la catastrophe !
Et parce qu’il est convaincu que sa religion est la dernière, la meilleure, la juste, la vraie et que les autres sont fausses, sont falsifiées, sont injustes, sont mécréantes, il est, depuis la maternelle, construit selon une logique d’agressivité, de violence, en guerre ouverte conte autrui. Il avance dans un sens inverse.
Parce que le musulman est convaincu que tout est dit dans le texte sacré, le Coran. Il détient  toutes les sciences, toutes les vérités, toutes les technologies, de ce fait, il se trouve contre l’idée da la citoyenneté qui est le partage de l’espace du vivre-ensemble, avec ceux qui nous sont différents.
Parce que le musulman croit, plutôt il est convaincu, qu’il n’a pas besoin d’autres livres pour assouvir sa soif  intellectuelle, n’a pas besoin de films pour rassasier son imaginaire humain, n’a pas besoin d’art plastique pour combler sa faim visionnaire, n’a pas besoin de musique pour réchauffer son humanisme… n’a pas besoin de tout cela parce qu’il détient le Livre qui remplace toutes ces futilités et ces petitesses humaines, le Coran. Ainsi le musulman par cette autosuffisance intellectuelle traîne en lui un refus de toute temporalité et ne croit pas à la citoyenneté.
Parce que le musulman est convaincu que cette vie est passagère, que la vie permanente se trouve dans le monde de l’au-delà, il est fainéant, et n’attend que la mort pour passer vers l’autre monde, ainsi il ne croit pas à la citoyenneté qui est une philosophie plaidant pour un avenir meilleur pour une cité émérite.
Parce que le musulman, en général, depuis quinze siècles, est proie aux exégètes du Coran commandés par les différents sultans et califes, il se trouve en train de tourner en rond. Entre la consommation, le suicide et la guerre froide ou chaude !
Toute société religieuse met en valeur le croyant avant le citoyen.  La soumission avant la critique.

A. Z.
aminzaoui@yahoo.fr

WILAYA III .... #Algerie : Heureux Les #Martyrs - #chouhada - Qui N'ont Rien Vu !


#Algerie : Heureux Les #Martyrs - #chouhada - Qui N'ont Rien Vu !

Enterrement de Réda Malek: Les réseaux sociaux réagissent aux photos de Said Bouteflika et Ali Haddad


SAID ALI HADDAD

Des photos prises dimanche 30 juillet lors de l'enterrement de Réda Malek, décédé la veille, montrant Said Bouteflika et Ali Haddad en train de rire, ont provoqué l'indignation des utilisateurs des réseaux sociaux qui ont qualifié l'attitude des deux personnalités d"indigne".
Le frère du président Abdelaziz Bouteflika et conseiller spécial à la présidence est apparu aux côtés de l'homme d'affaires Ali Haddad lors des funérailles de l'ancien chef du gouvernement Réda Malek à Alger. Des photos montrent les deux personnages, en plus du patron de l'UGTA Abdelmadjid Sidi Saïd, en train de se donner à des éclats de rire. D'autres responsables politiques présents à l'enterrement, comme le Premier ministre Abdelmadjid Tebboune ou le président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, affichaient des mines pus sérieuses.
De nombreux Algériens sur les réseaux sociaux ont réagi aux photos, qualifiant l'attitude de Said Bouteflika et d'Ali Haddad d'"inappropriée" à un enterrement, d'autant plus qu'il s'agit de celui d'une personnalité nationale.

http://www.huffpostmaghreb.com/2017/07/30/reda-malek-said-ali-hadda_n_17634468.html